C'est l'idée la plus ingénieuse de cette époque, révolutionnaire un grand changement dans la gloire de la collaboration entre amis. Si bien que cette idée a eu une réaction quel que peut mitiger. Quand la révolutionnaire a expliqué l'idée les sourire pas convaincus des Incultes à la pratique. Mais il fut très vite convaincu par la splendeur de l'idée. Mais quelle est cette idée ? Et bien mon camarade l'a expliqué à l'Inculte : une personne -mon camarade- dessine et vous complétez le dessin. Et là il donna à la révolutionnaire qui l'avait recommandé. Elle dessina un dessin bien que peut convaincu par l'idée. Mais ils ne faisaient pas partie des illuminés et ils se mirent à rire quand je me suis à retrouver une excellente musique que j'avais perdue de vue. Eh bien je dois rajouter que j'ai begailler de façon peu claire mon propos . Le cadrave exquis était en préparation mais je ne put pas apercevoir la beauté de cette élant de solidarité. La révolutionnaire expliqua le mouvement de l'écriture automatique et je ne pus qu'acquiescer. Le septique riat de la pièce, bien que peut précise, qu'il ne tarda pas à qualifier ces dessins de gribouillis mais bon il avait un peu raison. Nous rions avec jois. Ensuite il expliqua qu'un dessin ressemblait à la Pologne. Et cela peut être vrai. La musique résonnait dans cette cabane. Elle nous emportait dans ses ondes et avec joie nous les savourions seules dans les vignes. Le dessin tournait comme un Pillon un soir de fin d'avril. On ne pouvait que qualifier ce dessin de psychédélique. Je ne vous ferais pas l'affront de le décrire pour des raisons politiques. Mais l'idée était bonne, magnifique. La gloire de la collaboration entre amis. La musique et la fumer enfumait la pièce le corps bougé dans cette douce mélodie nous dansions nous étions heureux dans le canope. La voix fut utilisée la bouche fut aussi tot hydrater de la pire des manières. Mais le dessin était sur la table il était délaissé par un atelier bricolage qui durera toute la douce nuit.
"Ah, je ne m'attendais pas à ce que sa soie toi qui sorte" dis-je machinalement un sourire nerveux aux lèvres. En réalité mon interlocuteur ne remarqua pas la légère pointe de stress qu'il m'a fallu surmonter pour pouvoir lui décrocher ses quelques mots. "Oui, il fait trop chaud à l'intérieur et la musique est trop forte mais ce n'est qu'une question de temps avant que j'y retourne haha" me répondit-elle. C'était absolument terrifiant, je ne lui avais jamais parlé autant - principalement car je l'évitais du mieux que je pouvais- et comme un réflexe pavlovien je sortis une cigarette et l'allumat. Il me fallait un objet de réconfort avec lequel je pourrais jouer avec. Tout en fumant je lui répondis quelque banalité pour me rendre enfin compte de ma condition et celle de ma surprise. Les effets de l'alcool tant désirés étaient venus, et jamais les pommes de terre ne parurent autant délicieuses. Je pris mon courage à deux mai...
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